Le Vignoble
Une vocation viticole évidente
Le terroir de la Solitude est constitué d’une mosaïque de croupes graveleuses bordées de forêts qui bénéficient de l’influence du climat atlantique. Cet ensemble contribue de façon très positive à la culture de la vigne. L’enracinement est profond et les sols sont drainants. Les grandes amplitudes thermiques de ce système « vigne-forêt » favorisent une excellente maturité tout en préservant la fraîcheur du raisin.
Les graves argileuses qui composent les sols possèdent une grande capacité d’adaptation. Pendant les longues périodes pluvieuses, elles drainent l’excès d’eau tandis que durant les sècheresses importantes, les argiles du sous-sol hydratent parfaitement les racines profondes. Cet équilibre hydrique du sol donne naissance à de grands vins blancs dans les zones plus fraîches et à des cabernets sauvignons de grande qualité dans les zones les plus graveleuses. La capacité des galets et graviers à emmagasiner la chaleur du jour et à la restituer la nuit assure à tous les cépages une grande qualité de maturité, particulièrement aux cabernets sauvignons plus longs à murir. L’identité de ce terroir s’exprime pleinement.
70%
Sauvignon Blanc
65%
Cabernet Sauvignon
1892
plantation du vignoble
La donne initiale
En 1993, le vignoble de La Solitude souffrait d’un double handicap.
Le premier résidait dans la structure même de l’encépagement dont les données approximatives ne tenaient pas suffisamment compte de la nécessaire adéquation des cépages au terroir. La seconde hypothèque qui grevait l’option de la qualité était le recours à des techniques culturales assez minimalistes. L’absence de travail des sols, notamment, interdisait au terroir de donner sa pleine mesure.
La mesure du temps…
« Un grand terroir possède toujours une part de secret, de non-dit, qui ne se dévoile qu’avec le temps. Il faut inscrire les choses dans la durée pour que la terre révèle son talent…
Que de chemin parcouru depuis 1993… J’ai le sentiment qu’à La Solitude, à cette époque, on a commencé à tracer une voie, celle de la vérité du terroir, en harmonie avec la vie du lieu… Une quarantaine d’années, c’est à la fois la durée d’une vie de travail et peu de choses au regard de ce à quoi nous sommes confrontés ici, cette sensation d’immanence, de temps qui nous dépasse… Mais c’est notre participation à ce long cheminement qu’est l’histoire de La Solitude ».
Une nouvelle approche culturale
Le terroir de la Solitude est constitué d’une mosaïque de croupes graveleuses bordées de forêts qui bénéficient de l’influence du climat atlantique. Cet ensemble contribue de façon très positive à la culture de la vigne. L’enracinement est profond et les sols sont drainants. Les grandes amplitudes thermiques de ce système « vigne-forêt » favorisent une excellente maturité tout en préservant la fraîcheur du raisin.
Les graves argileuses qui composent les sols possèdent une grande capacité d’adaptation. Pendant les longues périodes pluvieuses, elles drainent l’excès d’eau tandis que durant les sècheresses importantes, les argiles du sous-sol hydratent parfaitement les racines profondes. Cet équilibre hydrique du sol donne naissance à de grands vins blancs dans les zones plus fraîches et à des cabernets sauvignons de grande qualité dans les zones les plus graveleuses. La capacité des galets et graviers à emmagasiner la chaleur du jour et à la restituer la nuit assure à tous les cépages une grande qualité de maturité, particulièrement aux cabernets sauvignons plus longs à murir. L’identité de ce terroir s’exprime pleinement.
Le choix de la culture biologique
Le choix de la culture biologique et de la biodynamie ne peut pas être un engagement anodin.
Le terroir de la Solitude est constitué d’une mosaïque de croupes graveleuses bordées de forêts qui bénéficient de l’influence du climat atlantique. Cet ensemble contribue de façon très positive à la culture de la vigne. L’enracinement est profond et les sols sont drainants. Les grandes amplitudes thermiques de ce système « vigne-forêt » favorisent une excellente maturité tout en préservant la fraîcheur du raisin.
Les graves argileuses qui composent les sols possèdent une grande capacité d’adaptation. Pendant les longues périodes pluvieuses, elles drainent l’excès d’eau tandis que durant les sècheresses importantes, les argiles du sous-sol hydratent parfaitement les racines profondes. Cet équilibre hydrique du sol donne naissance à de grands vins blancs dans les zones plus fraîches et à des cabernets sauvignons de grande qualité dans les zones les plus graveleuses. La capacité des galets et graviers à emmagasiner la chaleur du jour et à la restituer la nuit assure à tous les cépages une grande qualité de maturité, particulièrement aux cabernets sauvignons plus longs à murir. L’identité de ce terroir s’exprime pleinement.